alaska-dream

Un nouveau départ. Une nouvelle vie. Celle avec toi, mon ange.

Jeudi 22 septembre 2011 à 21:04

C'est la fin. Comme quoi, l'Amour ne suffit pas toujours...

Jeudi 15 septembre 2011 à 11:28

 

J'essaie de faire changer les choses, de te faire bouger. J'essaie de te faire grandir, de te faire prendre confiance en toi et de perdre cette confiance, quand c'est justifié, envers autrui ! J'essaie, tant bien que mal. J'ai essayé de ne pas lacher le morceau... Mais c'est comme si vous essayiez de faire voir à un aveugle ce qu'il ne peut voir. J'essaie de te faire ouvrir les yeux, mais tu es aveugle..
Je me sens impuissante, incapable. Quoi que je fasse les gens profiteront toujours de toi, sans que je ne puisse rien y faire. Je ne veux pas continuer tout ça, c'est comme si je participais à toute cette histoire, c'est comme si je légitimais tout ça. Je ne peux plus assister à tout ça.
Tu n'as jamais su m'écouter, tu n'as jamais su te rendre compte de tes erreurs. J'ai toujours du, pour toi, changer. J'ai toujours du, pour toi, me remettre en question. Mais à un aucun moment, toi, tu ne l'as fait.
J'ai mal. Mal de voir les choix que tu as pu prendre, que tu continues encore de prendre...
On aurait pu être les plus heureux du monde, un Amour fort, plein de moments forts partagés ensemble, deux familles qui s'entendent à merveille, les mêmes attentes en quelque sorte. Mais nous en avons voulu autrement...
L'amour, c'est accepter sa moitié telle qu'elle est, mais c'est aussi savoir faire des sacrifices, ou savoir changer quand l'autre est malheureux. L'amour, c'est ne pas être égoïste.
Je coule, et au lieu de me sortir de l'eau, tu me retiens sous l'eau. Ce moment est interminable.

Je pensais avoir trouvé cette perle rare en toi, cet homme qui me fera un jour un enfant, mais j'ai perdu tout espoir, presque même toute envie...
Comme j'ai pu si souvent te le dire, comment veux-tu fonder une famille avec quelqu'un qui est incapable de se défendre soi-même ? Comment pourrais-tu défendre autrui, ta famille si tu es incapable de te défendre toi même et de garder de l'estime pour toi ? C'est impossible, tu le sais très bien...

Aujourd'hui je n'ai plus le goût à rien... Je souhaite arrêter mes études. Je souhaite arrêter tout, en finir, en finir... En finir avec toi (j'essaie de m'en convaincre), en finir avec moi...
1 an et demi que nous sommes ensemble : certes plus d'un an de rire, d'amour, de sexe, de bonheur mais aussi un an de mensonge, de disputes, de tristesse, de larmes...


 
Tu m'as blessé, je suis à deux doigts de mourir. Si seulement tu pouvais m'achever. Si seulement tu pouvais me donner le dernier coup qui me rayerait de cette vie...

Vendredi 2 septembre 2011 à 16:27


Tu ne me comprends pas, je le vois bien. Et pourtant ... j'aimerais tant que tu puisses lire tout ce qu'il y a en moi, toutes mes émotions, mes pensées, mon ressenti, mes angoisses, mes peines.
J'ai tellement mal. Je suis perdue, avec et sans toi. J'ai peur quand je suis avec toi, quand tu es absent. J'ai peur de faire ma vie avec toi et j'ai encore plus peur de te perdre. Je t'aime, j'aime ce que tu es. Tu es tout ce que je ne suis pas ; autrement dit on se complète. J'aime ta gentillesse, ta confiance, ta joie de vivre, ton calme. Mais toutes ses qualités, tu sais les transformer en défaut. Trop de gentillesse, trop de confiance j'appelle celà de la naïveté. Il te manque en plus la sincérité, une des rares choses primordiales pour moi. Je perds ainsi peu à peu confiance en toi, de par ma faute, certes, mais de par ta faute également même si tu ne te l'avoues pas.
Tu me reproches de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Malheureusement, si on part du principe que ce qui te concerne et t'affecte ne me concerne pas, tu as raison. Là où tu as tort, là où tu te trompes par contre, c'est que j'agis ainsi parce que je te sais trop gentil pour être capable de te défendre tout seul, pour être capable de réclamer ton dû. Tu me reproches de ne pas avoir assez confiance en toi mais quoi que tu en dises toi aussi tu n'as pas totalement confiance en toi. Malgré ce que je peux te dire (qui a pour seul but de te motiver, que tu agisses enfin et que tu arrêtes d'être passif), je ne ferai pas (plus) quelque chose qui peut réellement te contrarier : tu m'as demandé de rester en dehors de ça, je respecterai ce que tu me demandes, parce que même si tu ne me crois plus je te respecte. Les choses que j'ai faites et qui t'ont blessées, que tu n'as pas apprécié, malheureusement je ne les regrette pas mais je sais qu'elles m'auront appris des choses sur la vie, sur l'amour et sur toi... Je garderai ça au fond de moi. Tu peux me demander de ne pas agir, de changer mes actions, mais tu ne peux pas me faire changer ce que j'ai dans le coeur et mes pensées. Je te laisserai régler le problème tel que tu le souhaites.  La seule chose que je souhaite, du plus profond de moi, c'est que cette histoire te serve de leçon, réellement de leçon et que tu apprendras qu'il ne faut pas avoir confiance en l'Homme, que rien n'est jamais certain. J'aurais pensé que ton métier t'apporterait cette méfiance (qui ne doit pas devenir évidemment maladive) mais bien au contraire.... Elle ne t'a appris que le calme, je dirais presque parfois la soumission.
En fait, c'est comme si un film défilait devant moi, le film de ta vie. Oui, c'est comme si je voyais ces gens profiter de ta gentillesse, de ton calme, de ta naïveté sans que moi je ne puisse rien faire et sans que toi tu n'aies envie de faire quelque chose. Autrement dit, je vois le film défiler, me voyant totalement inutile, soumise. Les femmes cherchent des hommes gentils, pas trop jaloux, calmes. Mais elles ne cherchent pas que ça. Elles cherchent des "hommes" avant tout, avec un caractère, un homme capable d'ouvrir sa gueule quand il le faut, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, un homme avec du cran.
Je vais te laisser, si j'y parviens, mener ta vie comme tu l'entends. Sache juste que je suis capable d'accepter beaucoup de ta part, que je ne suis pas rancunière pour un sou, mais je pense être dans l'incapacité totale de mener une vie à trois, de fonder une famille avec un homme qui n'est pas un vrai "homme", un homme qui n'est pas capable de se défendre lui même. Comment un homme peut-il défendre sa famille si il est incapable de se défendre lui même ?
Je sais que je suis excessive dans tout ce que je suis et dans tout ce que j'entreprends, mais tu ne peux pas envisager que je puisse te demander un simple "juste milieu" de te modérer et pas de devenir comme moi. Tu sais, je me rends compte réellement de mes défauts, et je rêve de pouvoir changer tout ça, j'essaye même mais je pense que je n'emploie pas les bons moyens (j'envisage de plus en plus à faire appel à un spécialiste ou à des "remèdes) mais toi, je ne pense pas que tu te rendes compte que tu as aussi une responsabilité dans tout ça. Ceux qui te connaissent un peu, te cotoient, te voient comme un garçon formidable, gentil, calme, serviable ce qui est loin d'être faux !! Mais ils ne voient pas toutes ses qualités se transformer en défaut. Malheureusement tout ce que je connais sur toi (et que tu n'aurais pas aimé que je sache) font que je vois un peu plus loin en toi, et je sais que tout ça cache une faiblesse... Finalement, bien que nous soyions opposés dans nos caractères, comportements, on retrouve un point commun : on cache tous les deux une faiblesse, qu'on ne veut dévoiler mais qui est enfoui en nous.
Quand on aime on accepte la personne telle qu'elle est. Mais cela n'empêche pas de faire quelques sacrifices, d'essayer de s'améliorer. Je suis prête à le faire, bien que tu ne me crois pas je pense. J'aimerais tant tu sais, mais je me sens impuissante à le faire, sans aide (et toi, comme ma famille et mes amis en sont également incapables). Je ne sais même pas si toi tu aimerais changer un peu, te "modérer" aussi ou si tu ne le désires même pas. Dans le dernier cas, alors je n'ai rien à attendre.
Je t'aime tellement que c'est pour moi comme si nous faisions qu'un. Tout ce qui concerne ta vie mais qui me blesserait si ça m'arrivait me blesse quand même. Et tant que le problème n'est pas réglé, je ne peux passer à autre chose... Tout ce qui est susceptible de te blesser, me blesse. Tout ce qui te plait, me plait. Tout ce que tu veux, je le veux. Je veux ton bonheur, mais pour que tu le trouves, je m'y prends mal, très mal... Je ne sais pas si c'est dû à mon jeune âge, à mon manque d'expérience, à mon expérience, à mon caractère mais je sais que tu n'es pas heureux avec moi et pourtant tu ne veux pas partir... Est-ce encore de la pitié, de la gentillesse ? Ou est-ce du véritable Amour ?

Je t'aime. J'aurais tellement été plus ému de l'amour que tu me portes si seulement ce sentiment était si fort et rare pour toi que moi je le pense ; j'aurais tellement été plus ému de la confiance que tu me portes si pour toi celle-ci était profonde et rare, autant qu'elle l'est pour moi ; j'aurais tellement été plus ému de ces attentions que tu me portes si tu les adressais qu'aux personnes proches, qui le méritent et qui te rendent la pareille.
Parfois j'ai l'impression d'être une personne de plus à qui tu as ouvert ton coeur, une personne de plus à qui tu as adressé de plus ou moins grandes attentions, une personne de plus à qui tu as partagé ton argent, une personne de plus à qui tu as donné ta confiance.

Samedi 20 août 2011 à 13:25


" Ami prends ma lanterne car j’ai perdu ma flamme,
Mon amour est parti,
Elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le cœur vide,
Elle a fait des fertiles des averses, l’aride.

Et l’horreur du monde n’est rien en comparaison
A ce que l’amour fait à ceux qui dans l’union
Pensent oublier un peu qu’on est triste ici-bas,
Et qu’ici solitude est le dernier repas. "




Je me meurs, minute après minute, heure après heure, jour après jour, mois après mois. J'aimerais crier, crier comme j'ai mal. Mais personne ne m'entend. Personne ne me comprend. Pas même toi, surtout pas toi, qui partage mes jours, mes nuits...
Je rêve, je rêve, c'est mon seul moyen de garder la tête hors de l'eau, de continuer de respirer, mais je suffoque...
Je rêve que tu ouvres les yeux, enfin, que tu regardes avec ton coeur, que tu écoutes avec ton coeur. Mais tu ne regardes pas, tu vois (et encore..). Je sens la fin venir, et toi rester impuissant. Je me sens partir et toi qui me laisses partir, le sourire aux lèvres, le coeur léger, laissant tes bras fermés, ton coeur fermé.

" Lis mes peines avant que je les dise
Oubli mes hontes sans que je précise
Cache le moi si un jour tu m'méprise
Car j'en ferai autant

Et je sais
Que c'est un peu trop
Que je demande plus qu'il faut
Mais je te donne plus que des mots "

Samedi 20 août 2011 à 12:51


http://alaska-dream.cowblog.fr/images/2009.jpg








" Depuis que j'le connais j'ressens des trucs hallucinants, et je me dis que j'ai eu de la chance de lui avoir plu sinon j'aurais jamais su qu'un rire pouvait arrêter la terre de tourner, j'aurais jamais su qu'un regard pouvait habiller mes journées...

J'ai redécouvert comme ça réchauffe d'avoir des sentiments... " GCM

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