" Ami prends ma lanterne car j’ai perdu ma flamme,
Mon amour est parti,
Elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le cœur vide,
Elle a fait des fertiles des averses, l’aride.
Et l’horreur du monde n’est rien en comparaison
A ce que l’amour fait à ceux qui dans l’union
Pensent oublier un peu qu’on est triste ici-bas,
Et qu’ici solitude est le dernier repas. "
Je me meurs, minute après minute, heure après heure, jour après jour, mois après mois. J'aimerais crier, crier comme j'ai mal. Mais personne ne m'entend. Personne ne me comprend. Pas même toi, surtout pas toi, qui partage mes jours, mes nuits...
Je rêve, je rêve, c'est mon seul moyen de garder la tête hors de l'eau, de continuer de respirer, mais je suffoque...
Je rêve que tu ouvres les yeux, enfin, que tu regardes avec ton coeur, que tu écoutes avec ton coeur. Mais tu ne regardes pas, tu vois (et encore..). Je sens la fin venir, et toi rester impuissant. Je me sens partir et toi qui me laisses partir, le sourire aux lèvres, le coeur léger, laissant tes bras fermés, ton coeur fermé.
Mon amour est parti,
Elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le cœur vide,
Elle a fait des fertiles des averses, l’aride.
Et l’horreur du monde n’est rien en comparaison
A ce que l’amour fait à ceux qui dans l’union
Pensent oublier un peu qu’on est triste ici-bas,
Et qu’ici solitude est le dernier repas. "
Je me meurs, minute après minute, heure après heure, jour après jour, mois après mois. J'aimerais crier, crier comme j'ai mal. Mais personne ne m'entend. Personne ne me comprend. Pas même toi, surtout pas toi, qui partage mes jours, mes nuits...
Je rêve, je rêve, c'est mon seul moyen de garder la tête hors de l'eau, de continuer de respirer, mais je suffoque...
Je rêve que tu ouvres les yeux, enfin, que tu regardes avec ton coeur, que tu écoutes avec ton coeur. Mais tu ne regardes pas, tu vois (et encore..). Je sens la fin venir, et toi rester impuissant. Je me sens partir et toi qui me laisses partir, le sourire aux lèvres, le coeur léger, laissant tes bras fermés, ton coeur fermé.
" Lis mes peines avant que je les dise
Oubli mes hontes sans que je précise
Cache le moi si un jour tu m'méprise
Car j'en ferai autant
Et je sais
Que c'est un peu trop
Que je demande plus qu'il faut
Mais je te donne plus que des mots "
Cache le moi si un jour tu m'méprise
Car j'en ferai autant
Et je sais
Que c'est un peu trop
Que je demande plus qu'il faut
Mais je te donne plus que des mots "