Tu ne me comprends pas, je le vois bien. Et pourtant ... j'aimerais tant que tu puisses lire tout ce qu'il y a en moi, toutes mes émotions, mes pensées, mon ressenti, mes angoisses, mes peines.
J'ai tellement mal. Je suis perdue, avec et sans toi. J'ai peur quand je suis avec toi, quand tu es absent. J'ai peur de faire ma vie avec toi et j'ai encore plus peur de te perdre. Je t'aime, j'aime ce que tu es. Tu es tout ce que je ne suis pas ; autrement dit on se complète. J'aime ta gentillesse, ta confiance, ta joie de vivre, ton calme. Mais toutes ses qualités, tu sais les transformer en défaut. Trop de gentillesse, trop de confiance j'appelle celà de la naïveté. Il te manque en plus la sincérité, une des rares choses primordiales pour moi. Je perds ainsi peu à peu confiance en toi, de par ma faute, certes, mais de par ta faute également même si tu ne te l'avoues pas.
Tu me reproches de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Malheureusement, si on part du principe que ce qui te concerne et t'affecte ne me concerne pas, tu as raison. Là où tu as tort, là où tu te trompes par contre, c'est que j'agis ainsi parce que je te sais trop gentil pour être capable de te défendre tout seul, pour être capable de réclamer ton dû. Tu me reproches de ne pas avoir assez confiance en toi mais quoi que tu en dises toi aussi tu n'as pas totalement confiance en toi. Malgré ce que je peux te dire (qui a pour seul but de te motiver, que tu agisses enfin et que tu arrêtes d'être passif), je ne ferai pas (plus) quelque chose qui peut réellement te contrarier : tu m'as demandé de rester en dehors de ça, je respecterai ce que tu me demandes, parce que même si tu ne me crois plus je te respecte. Les choses que j'ai faites et qui t'ont blessées, que tu n'as pas apprécié, malheureusement je ne les regrette pas mais je sais qu'elles m'auront appris des choses sur la vie, sur l'amour et sur toi... Je garderai ça au fond de moi. Tu peux me demander de ne pas agir, de changer mes actions, mais tu ne peux pas me faire changer ce que j'ai dans le coeur et mes pensées. Je te laisserai régler le problème tel que tu le souhaites. La seule chose que je souhaite, du plus profond de moi, c'est que cette histoire te serve de leçon, réellement de leçon et que tu apprendras qu'il ne faut pas avoir confiance en l'Homme, que rien n'est jamais certain. J'aurais pensé que ton métier t'apporterait cette méfiance (qui ne doit pas devenir évidemment maladive) mais bien au contraire.... Elle ne t'a appris que le calme, je dirais presque parfois la soumission.
En fait, c'est comme si un film défilait devant moi, le film de ta vie. Oui, c'est comme si je voyais ces gens profiter de ta gentillesse, de ton calme, de ta naïveté sans que moi je ne puisse rien faire et sans que toi tu n'aies envie de faire quelque chose. Autrement dit, je vois le film défiler, me voyant totalement inutile, soumise. Les femmes cherchent des hommes gentils, pas trop jaloux, calmes. Mais elles ne cherchent pas que ça. Elles cherchent des "hommes" avant tout, avec un caractère, un homme capable d'ouvrir sa gueule quand il le faut, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, un homme avec du cran.
Je vais te laisser, si j'y parviens, mener ta vie comme tu l'entends. Sache juste que je suis capable d'accepter beaucoup de ta part, que je ne suis pas rancunière pour un sou, mais je pense être dans l'incapacité totale de mener une vie à trois, de fonder une famille avec un homme qui n'est pas un vrai "homme", un homme qui n'est pas capable de se défendre lui même. Comment un homme peut-il défendre sa famille si il est incapable de se défendre lui même ?
Je sais que je suis excessive dans tout ce que je suis et dans tout ce que j'entreprends, mais tu ne peux pas envisager que je puisse te demander un simple "juste milieu" de te modérer et pas de devenir comme moi. Tu sais, je me rends compte réellement de mes défauts, et je rêve de pouvoir changer tout ça, j'essaye même mais je pense que je n'emploie pas les bons moyens (j'envisage de plus en plus à faire appel à un spécialiste ou à des "remèdes) mais toi, je ne pense pas que tu te rendes compte que tu as aussi une responsabilité dans tout ça. Ceux qui te connaissent un peu, te cotoient, te voient comme un garçon formidable, gentil, calme, serviable ce qui est loin d'être faux !! Mais ils ne voient pas toutes ses qualités se transformer en défaut. Malheureusement tout ce que je connais sur toi (et que tu n'aurais pas aimé que je sache) font que je vois un peu plus loin en toi, et je sais que tout ça cache une faiblesse... Finalement, bien que nous soyions opposés dans nos caractères, comportements, on retrouve un point commun : on cache tous les deux une faiblesse, qu'on ne veut dévoiler mais qui est enfoui en nous.
Quand on aime on accepte la personne telle qu'elle est. Mais cela n'empêche pas de faire quelques sacrifices, d'essayer de s'améliorer. Je suis prête à le faire, bien que tu ne me crois pas je pense. J'aimerais tant tu sais, mais je me sens impuissante à le faire, sans aide (et toi, comme ma famille et mes amis en sont également incapables). Je ne sais même pas si toi tu aimerais changer un peu, te "modérer" aussi ou si tu ne le désires même pas. Dans le dernier cas, alors je n'ai rien à attendre.
Je t'aime tellement que c'est pour moi comme si nous faisions qu'un. Tout ce qui concerne ta vie mais qui me blesserait si ça m'arrivait me blesse quand même. Et tant que le problème n'est pas réglé, je ne peux passer à autre chose... Tout ce qui est susceptible de te blesser, me blesse. Tout ce qui te plait, me plait. Tout ce que tu veux, je le veux. Je veux ton bonheur, mais pour que tu le trouves, je m'y prends mal, très mal... Je ne sais pas si c'est dû à mon jeune âge, à mon manque d'expérience, à mon expérience, à mon caractère mais je sais que tu n'es pas heureux avec moi et pourtant tu ne veux pas partir... Est-ce encore de la pitié, de la gentillesse ? Ou est-ce du véritable Amour ?
Je t'aime. J'aurais tellement été plus ému de l'amour que tu me portes si seulement ce sentiment était si fort et rare pour toi que moi je le pense ; j'aurais tellement été plus ému de la confiance que tu me portes si pour toi celle-ci était profonde et rare, autant qu'elle l'est pour moi ; j'aurais tellement été plus ému de ces attentions que tu me portes si tu les adressais qu'aux personnes proches, qui le méritent et qui te rendent la pareille.
Parfois j'ai l'impression d'être une personne de plus à qui tu as ouvert ton coeur, une personne de plus à qui tu as adressé de plus ou moins grandes attentions, une personne de plus à qui tu as partagé ton argent, une personne de plus à qui tu as donné ta confiance.
Tu me reproches de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Malheureusement, si on part du principe que ce qui te concerne et t'affecte ne me concerne pas, tu as raison. Là où tu as tort, là où tu te trompes par contre, c'est que j'agis ainsi parce que je te sais trop gentil pour être capable de te défendre tout seul, pour être capable de réclamer ton dû. Tu me reproches de ne pas avoir assez confiance en toi mais quoi que tu en dises toi aussi tu n'as pas totalement confiance en toi. Malgré ce que je peux te dire (qui a pour seul but de te motiver, que tu agisses enfin et que tu arrêtes d'être passif), je ne ferai pas (plus) quelque chose qui peut réellement te contrarier : tu m'as demandé de rester en dehors de ça, je respecterai ce que tu me demandes, parce que même si tu ne me crois plus je te respecte. Les choses que j'ai faites et qui t'ont blessées, que tu n'as pas apprécié, malheureusement je ne les regrette pas mais je sais qu'elles m'auront appris des choses sur la vie, sur l'amour et sur toi... Je garderai ça au fond de moi. Tu peux me demander de ne pas agir, de changer mes actions, mais tu ne peux pas me faire changer ce que j'ai dans le coeur et mes pensées. Je te laisserai régler le problème tel que tu le souhaites. La seule chose que je souhaite, du plus profond de moi, c'est que cette histoire te serve de leçon, réellement de leçon et que tu apprendras qu'il ne faut pas avoir confiance en l'Homme, que rien n'est jamais certain. J'aurais pensé que ton métier t'apporterait cette méfiance (qui ne doit pas devenir évidemment maladive) mais bien au contraire.... Elle ne t'a appris que le calme, je dirais presque parfois la soumission.
En fait, c'est comme si un film défilait devant moi, le film de ta vie. Oui, c'est comme si je voyais ces gens profiter de ta gentillesse, de ton calme, de ta naïveté sans que moi je ne puisse rien faire et sans que toi tu n'aies envie de faire quelque chose. Autrement dit, je vois le film défiler, me voyant totalement inutile, soumise. Les femmes cherchent des hommes gentils, pas trop jaloux, calmes. Mais elles ne cherchent pas que ça. Elles cherchent des "hommes" avant tout, avec un caractère, un homme capable d'ouvrir sa gueule quand il le faut, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, un homme avec du cran.
Je vais te laisser, si j'y parviens, mener ta vie comme tu l'entends. Sache juste que je suis capable d'accepter beaucoup de ta part, que je ne suis pas rancunière pour un sou, mais je pense être dans l'incapacité totale de mener une vie à trois, de fonder une famille avec un homme qui n'est pas un vrai "homme", un homme qui n'est pas capable de se défendre lui même. Comment un homme peut-il défendre sa famille si il est incapable de se défendre lui même ?
Je sais que je suis excessive dans tout ce que je suis et dans tout ce que j'entreprends, mais tu ne peux pas envisager que je puisse te demander un simple "juste milieu" de te modérer et pas de devenir comme moi. Tu sais, je me rends compte réellement de mes défauts, et je rêve de pouvoir changer tout ça, j'essaye même mais je pense que je n'emploie pas les bons moyens (j'envisage de plus en plus à faire appel à un spécialiste ou à des "remèdes) mais toi, je ne pense pas que tu te rendes compte que tu as aussi une responsabilité dans tout ça. Ceux qui te connaissent un peu, te cotoient, te voient comme un garçon formidable, gentil, calme, serviable ce qui est loin d'être faux !! Mais ils ne voient pas toutes ses qualités se transformer en défaut. Malheureusement tout ce que je connais sur toi (et que tu n'aurais pas aimé que je sache) font que je vois un peu plus loin en toi, et je sais que tout ça cache une faiblesse... Finalement, bien que nous soyions opposés dans nos caractères, comportements, on retrouve un point commun : on cache tous les deux une faiblesse, qu'on ne veut dévoiler mais qui est enfoui en nous.
Quand on aime on accepte la personne telle qu'elle est. Mais cela n'empêche pas de faire quelques sacrifices, d'essayer de s'améliorer. Je suis prête à le faire, bien que tu ne me crois pas je pense. J'aimerais tant tu sais, mais je me sens impuissante à le faire, sans aide (et toi, comme ma famille et mes amis en sont également incapables). Je ne sais même pas si toi tu aimerais changer un peu, te "modérer" aussi ou si tu ne le désires même pas. Dans le dernier cas, alors je n'ai rien à attendre.
Je t'aime tellement que c'est pour moi comme si nous faisions qu'un. Tout ce qui concerne ta vie mais qui me blesserait si ça m'arrivait me blesse quand même. Et tant que le problème n'est pas réglé, je ne peux passer à autre chose... Tout ce qui est susceptible de te blesser, me blesse. Tout ce qui te plait, me plait. Tout ce que tu veux, je le veux. Je veux ton bonheur, mais pour que tu le trouves, je m'y prends mal, très mal... Je ne sais pas si c'est dû à mon jeune âge, à mon manque d'expérience, à mon expérience, à mon caractère mais je sais que tu n'es pas heureux avec moi et pourtant tu ne veux pas partir... Est-ce encore de la pitié, de la gentillesse ? Ou est-ce du véritable Amour ?
Je t'aime. J'aurais tellement été plus ému de l'amour que tu me portes si seulement ce sentiment était si fort et rare pour toi que moi je le pense ; j'aurais tellement été plus ému de la confiance que tu me portes si pour toi celle-ci était profonde et rare, autant qu'elle l'est pour moi ; j'aurais tellement été plus ému de ces attentions que tu me portes si tu les adressais qu'aux personnes proches, qui le méritent et qui te rendent la pareille.
Parfois j'ai l'impression d'être une personne de plus à qui tu as ouvert ton coeur, une personne de plus à qui tu as adressé de plus ou moins grandes attentions, une personne de plus à qui tu as partagé ton argent, une personne de plus à qui tu as donné ta confiance.